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A propos... du Comte

Histoire et éducation.

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Dernier membre d'une très longue lignée (13 siècles), le Comte a passé ses années d'enfance à apprendre les règles de bonnes manières, enseignées par sa famille.

 

Ce n'est que plus tard, adolescent, qu'il s'aperçut que les usages les plus courants différaient de ceux qu'il avait appris.

Il y a bien une différence entre les règles authentiques de la noblesse (pour vivre ensemble le mieux possible), et celles copiés plus tard à la Révolution par la bourgeoisie (sorte de "test" pour voir si vous méritez d'être là), toujours utilisées aujourd'hui.

​​D'où l'idée de remettre en lumière ces quelques règles "un peu différentes", souvent plus souples, plus conviviales, plus sympathiques, au goût du jour.

Enfant, le comte a eu, comme tous les enfants, son "meilleur copain".

Ce copain faisait partie d'une famille royale, avec parmi ses oncles, tantes, cousins, à peu près toutes les familles royales européennes. Ceux qu'on voit dans la presse people comme ceux qui sont encore à la tête de leur pays...

​A 5 ans, les deux gamins n'en avait strictement rien à faire du statut social de toutes ces "grandes personnes" autour d'eux.

Oui, bien sûr, les gens appelaient la maman du copain "Princesse", au lieu de dire "madame".

Mais à cet âge-là, c'était juste amusant.

​​Ces "leçons", quasi quotidiennes, donnée par la mère du jeune comte, comme parfois par le père du jeune prince, étaient à la fois amusantes (on rigolait devant l’incongruité de certaines règles, franchement idiotes), utiles en société (pour nous, c'était pratique pour aller dîner avec les grands "si on se tenait bien"), et surtout, altruiste (il y a une vraie satisfaction "chevaleresque" à aider les autres, de se savoir utile à d'autres).

Devenus adultes, ces "usages" (qui sont plus des conseils des règles) ont été très utiles dans la vie de tous les jours, dans le travail, dans les relations avec les autres. La vie en société est plus facile avec ces règles !

Ça tombe bien, c'était conçu pour ça !

​Puis, grandissants, toujours "potes à vie", est venu le temps des apprentissages, des leçons, des "fait pas ci, fait pas ça", des règles à suivre.

​Ce n'est que plus tard, à l'adolescence, qu'on s'est rendu compte que, en plus !, ça plaisait autant aux filles qu'à leurs parents !

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